« L’injustice sociale est une évidence si familière, elle est d’une constitution si robuste,
Qu’elle paraît facilement naturelle à ceux
qui en sont victimes »

                    Marcel Aymé

 

 

 

 

 

 

 

 

  N ‘oubliez de signer la pétition pour l ‘élevage émanant d ‘un collectif d éleveurs http://www.petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2013N37242.       Posté le : 13.03.2013…      
         13 août 2013 10:15:27 :: Bonne fête , Hippolyte , Radegonde
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INF# = 549 .
Envoyé le: 26.02.2013.









 

Chers collègues,

Ce courrier s’adresse exclusivement aux producteurs livrant à une coopérative.

Comme vous le savez, les coopératives et les coopérateurs sont exclus de la construction de la filière laitière puisque étant reconnues par le législateur comme Organisation de Producteurs et contractualisé de fait.

Vous savez qu’entre les textes et la réalité il y a un monde, et que notre objectif reste une résolution globale des relations entre les collecteurs et les éleveurs.

Nous ne pouvons donc exclure les coopérateurs de la construction laitière, mais il nous faut activer tous les leviers pour faire admettre cette évidence qu’il ne peut y avoir plusieurs modèles selon la destinée des livraisons.

Lors des négociations avec les privés, nous avons pu juger du rôle positif et neutre, ainsi que du pouvoir, du médiateur de la république.

Mais il n’intervient que si il est interpellé par l’une ou l’autre des parties.

Nous vous proposons donc (pièce jointe) un courrier à lui transmettre pour lui demander de diligenter une enquête sur le fonctionnement véritable des coopératives.

Merci de renvoyer le document le plus rapidement et le plus nombreux possible soit par mail [email protected] par voie postale (adresse sur le courrier). Contactez aussi les éleveurs que nous ne pouvons joindre si ils ne possèdent pas d’adresse mail.

 
Amicalement.

Paul de Montvalon, président de l’Office du Lait National.






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INF# = 548 .
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INF# = 547 .
Envoyé le: 11.02.2013.




La nouvelle banque des producteurs de lait : Le Groupe BONGRAIN

Courant Janvier 2013, les associations de producteurs BONGRAIN se sont réunies pour obtenir une hausse du prix du lait. Après d’âpres négociations, Bongrain a cédé un « ajustement conjoncturel » de +15 €/tonne pour Janvier et Février et +5 €/tonne pour Mars. Il s’agit là, ni plus ni moins, d’une avance de trésorerie qu’il faudra rembourser de Juin à Novembre.

DE QUI SE MOQUE-T-ON ???????

Depuis plusieurs mois, le groupe Bongrain explique que la conjoncture ne lui permet pas de payer le lait plus cher
MAIS, PAR CONTRE, IL PEUT PRÊTER DE L’ARGENT A O % !!!!!!!!!!

Les adhérents de l’OP France MilkBoard agréée refusent cette avance ne voulant pas vivre de la charité mais d’un prix du lait rémunérateur.

Cette pseudo augmentation a été négociée exclusivement par les futures OP verticales Bongrain, non agréées à ce jour, (démontrant une fois encore l’impuissance de ces OP), ainsi Bongrain en l’imposant à tous les producteurs, bafoue les fondements des OP.

Pour ce qui concerne l’allocation provisoire de 4 % négociée également par les OP verticales, Bongrain ne l’a accordée qu’aux seules OP Bongrain.
Ce groupe refusant de calculer deux types de paies de lait, prétexte qu’il n’a pas la liste des adhérents France MilkBoard alors que pour ses besoins, il sait très bien trouver la liste des non signataires, pour leur signifier qu’ils n’avaient pas droit à cette allocation, liste identique au courrier informatif à la rupture du contrat tacite envoyé par RAR.

Nous demandons à tous les adhérents de France MilkBoard de ne pas entamer de démarches personnelles avec Bongrain, ne tombons pas dans le piège de la division, les responsables de France MilkBoard ont entrepris des négociations et emploieront tous les moyens légaux nécessaires pour que l’Organisation de producteurs soit respectée.

En outre, il faut savoir que ces fameux contrats, arrivés à 18 mois du terme, peuvent être résiliés sans aucun motif par l’industriel, ainsi le producteur se retrouve démuni, sans référence ni collecteur. Alors, l’industriel pourra redistribuer au producteur de son choix les volumes ainsi usurpés.
Ces faits démontrent l’absolue nécessité de mettre en place une OP transversale par bassin, rassemblant tous les producteurs (coopérateurs inclus) et la mise en place d’un contrat cadre indiquant la gestion des volumes et les modalités de fixation du prix du lait.


Paul de MONTVALON, Président de France Milkboard

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